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La géolocalisation a-t-elle de l’avenir ?

Image de positionnement

Nous allons nous interroger sur l’avenir de la géolocalisation. Dans un premier temps, nous définirons la géolocalisation, ensuite nous vous présenterons ses usages et applications, pour enfin terminer sur ses implications socio-économiques.
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Power Point (en PDF) :
Power Point Géolocalisation Groupe A
 

Lien Vidéo : http://www.youtube.com/watch?v=9J2fKD_c5tA&context=C355e315ADOEgsToPDskKnnGrsGquqPg5Avo5ymBwS

 

I)     La géolocalisation dans sa globalité

Définition :

La géolocalisation ou géoréférencement est un procédé permettant de positionner un objet (une personne, etc) sur une carte ou de placer un ou plusieurs lieux (ville, montagne, évènement), à partir de leurs coordonnées géographiques (latitudelongitude).

Cette opération est réalisée à l’aide d’un terminal capable d’être localisé (grâce à un système de positionnement par satellites tel qu’un récepteur GPS  ou à d’autres techniques) et de publier ses coordonnées géographiques.

Les positions enregistrées peuvent être stockées au sein du terminal et être extraites postérieurement, ou être transmises en temps réel vers une plateforme logicielle de géolocalisation.

La transmission en temps réel nécessite un terminal équipé d’un moyen de télécommunication de type GSM/GPRS, radio ou satellite lui permettant d’envoyer les positions à des intervalles réguliers. Ceci permet de visualiser la position du terminal au sein d’une carte à travers une plateforme de géolocalisation le plus souvent accessible depuis internet.

Cette fonctionnalité est notamment à intégrer aux modèles d’infoboxes (table préformatée de données dynamiques qui présente sommairement des informations importantes sur un sujet) ou aux fiches et permet la création de cartes complétées.

Application web :

Capteurs satellites de la géolocalisation

Procédé permettant de localiser un internaute grâce à son adresse IP.

En marketing :

Localisation du destinataire d’un message marketing par son téléphone portable ou via un site Web.

-> Intérêts de la géolocalisation marketing :

•Adapter la communication et l’offre

•Cibler un consommateur de plus en plus nomade (récupération de données utiles, lieux…)

Lois :

La géolocalisation est règlementée par la commission nationale de l’informatique.

Préoccupations de la CNIL :

« Les dispositifs de géolocalisation permettant aux employeurs privés ou publics de prendre connaissance de la position géographique, à un instant donné ou en continu, des employés par la localisation d’objets dont ils ont l’usage (badge, téléphone mobile) ou des véhicules qui leur sont confiés doivent  aux dispositions de l’article L.120-2 du code du travail aux termes duquel « Nul ne peut apporter aux droits des personnes et aux libertés individuelles et collectives de restrictions qui ne seraient pas justifiées par la nature de la tâche à accomplir ni proportionnées au but recherché ».

Historique

La géolocalisation a été développée en décembre 2006. Elle permettait de prendre en compte des projections autres que la simple projection équirectangulaire.

Histoire de la géolocalisation en schéma linéaire

Le procédé de géolocalisation était alors confronté à 2 problèmes :

  1. Les cartes disponibles était hétéroclites, bariolées ; mais surtout sans aucunes indications de projections ni cadrage.
  2. Mediawiki ne connaissait pas les fonctions trigonométriques

Ces problèmes ont disparu grâce à deux actions :

  1. De grands cartographes comme NNW ou Historicair , … ont réalisé un jeu de cartes de grandes qualités, bien documentées, et pour lesquelles la création du modèle de paramétrage n’est plus un problème.
  2. Les fonctions trigonométriques intégrées permettent maintenant des projections complexes

Une nouvelle version de la géolocalisation a donc été développée fin 2008, elle comprend désormais :

  • L’unité de positionnement dans les modèles de point qui n’est plus le pixel mais le pourcentage. Le positionnement devient alors indépendant de la taille de l’image. Les valeurs (valides) de positionnement transmises aux modèles de point sont dorénavant toujours dans la fourchette 0≤ ≤100. Le modèle de point peut donc détecter les positions hors cadre.
  • Le jeu de carte des pays est quasiment complet.
  • Un jeu de modèles des points a été réalisé.
  • L’organisation arborescente des modèles a permis une documentation automatique performante et la création de pages de maintenance
  • La documentation s’est considérablement étoffée (trop presque).
  • Intégration de Coordonnées par syntaxe DMS supportée par certains modèles de géolocalisation.

Techniques de géolocalisation: 

GPS : Sigle significant Global Positioning System.

Le Système de géolocalisation par satellite. Le réseau de 24 satellites (plus 4 satellites en réserve) actuellement en fonctionnement, développé par l’armée américaine, est mis à disposition des civils. Il permet de déterminer les coordonnées géographiques de n’importe quel point situé à la surface du globe. Sa précision peut atteindre 1 mètre. Le GPS s’utilise en association avec une carte pour se repérer et se positionner : randonnées, voile, trek…

Téléphonie :

GSM :Abréviation de Global System for Mobile communicationqui désigne un  téléphone portable smartphone.

UMTS : Universal Mobile Telecommunications System
Système de télécommunications mobiles universelles qui permet d’offrir une large gamme de services, intégrant la voix, les données et les images. Il définit la 3ème génération des mobiles, avec des possibilités bien plus grandes, notamment concernant le transfert de données et les nouveaux services accessibles à partir du mobile comme la vidéo à la demande.

Internet IP

Wifi, Bluetooth

RFID : Radio Frequency Identification

Méthode utilisée pour stocker et récupérer des données à distance en utilisant des balises métalliques, les « Tag RFID ». Ces balises qui peuvent être collées ou incorporées dans des produits sont composées d’une antenne et d’une puce électronique. Elles réagissent aux ondes radio et transmettent des informations à distance. Cette technologie est censée, à terme, remplacer les codes barres.

Différentes zones et modes d’utilisations

Applications de ces techniques dans différents domaines :

* Militaires (missiles, stratégie de terrain, déplacement de troupes…)

* Transports (navigation, GPS)

* Traçabilité (marchandises, colis…)

* Urgences, hôpitaux (repérage de blessés…)

* Guide (musées, bibliothèques…)

* Géomarketing

II)       Domaines d’application

De plus en plus la géolocalisation se mêle et s’entremêle dans différents domaines.
Nous allons vous évoquer les principaux domaines d’applications où le système de la géolocalisation prend de l’ampleur :
  1. Facebook Places

    Les CHECK-IN ont vu le jour en Août 2010

    Capture d'écran d'un check-in

    Un check-in est l’action qui consiste à spécifier sa localisation en publiant un statut sur son Facebook. Les check-in se font surtout à partir des applications des smartphones.

    Grâce à cet outil, l’utilisateur de Facebook peut se géolocaliser et préciser s’il est accompagné d’amis ou non. Leurs positionnements est obtenus grâce à une puce GPS présente dans de nombreux téléphones.

    Ils peuvent donner lieu à des propositions marketing et commerciales basées sur la géolocalisation. Depuis 2010 SFR à lancé une offre de « publicité mobile géolocalisée », elle propose aux enseignes d’augmenter le trafic en magasin en envoyant des promotions via des SMS sur les mobiles des clients SFR se trouvant dans une périmètre proche du magasin en question.

    http://www.youtube.com/watch?v=ZfX_ZQag1BM

    Géolocalisation d’amis

    La géolocalisation fait désormais partie du vocabulaire des jeunes fans des médias sociaux.

    85 % des étudiants utilisent Facebook pour leurs sorties.

    A raison de 2 à 3 sorties par semaine, cela laisse présager un bel avenir à la géolocalisation sociale.

    Grâce à la géolocalisation, nous pouvons géolocaliser nos amis à partir de nos Smartphone :

    – Google Lattitude : application pour mobile développée par Google dont le but est de partager sa position géographique avec ses contacts, et réciproquement de suivre la position de ses amis sur Google Maps.

    L’utilisateur choisit qui est autorisé à voir sa position et avec quelle précision (coordonnées géographiques ou bien seulement la ville). Il est également possible de désactiver l’application, ou d’entrer à la main une position.

    Google Latitude est également disponible sur PC. La géolocalisation se fait sur PC d’après l’adresse IP, sur mobile d’après les informations de l’opérateur mobile et le GPS du téléphone.

    Ce service soulève des questions de vie privée, et Google affirme ne stocker aucun historique.

    Ce service peut aussi aider à retrouver son téléphone en cas de perte.

    – Foursquare : Crée à New-York en 2009.

    Foursquare est un outil de réseau social, de jeu et de microblogging qui permet à l’utilisateur d’indiquer où il se trouve et de rencontrer ainsi ses contacts (système de géolocalisation). L’aspect ludique vient du fait qu’il est possible d’accumuler des badges relatifs à des lieux spécifiques.

    L’application fonctionne sur Symbian OS, IOS, Android, Windows Mobile, Windows Phone 7, Palm Pre et Blackberry.

    Avec ses 10 millions d’utilisateurs (20/06/11), cette application est cependant beaucoup plus populaire aux États-Unis en raison des commerces qui adhèrent au système.

    Géolocalisation des places de parking

    Dans les grandes villes, il est de plus en plus difficile de trouver une place de stationnement du premier coup.

    Une entreprise toulousaine, LYBERTA, est en train de tester un système plutôt ingénieux. En effet ce système devrait permettre aux utilisateurs de Smartphone et au propriétaire de voiture de trouver une place de parc rapidement.

    Je m’explique : Les automobilistes visualiserons en directe sur leur Smartphone les places libres aux alentours. Quatre places sont actuellement en phase de test, qui s’il s’avère concluant sera ensuite étendu à toute une rue.

    L’objet : géolocalisation sans satellite, ni GPS

    L’entreprise ne souhaite pas faire appel au satellite ni au système GPS. C’est tout l’enjeu technologique que s’est fixé l’entreprise Lyberta.

    Patrick Givanovitch résume l’affaire qui pourrait bien faire des heureux chez les urbains : «  De petites sondes seront installées dans le bitume à quelques centimètres de profondeur afin de détecter si les places sont libres ou non et seront toutes reliées à un ordinateur central « .

    Ainsi, l’outil de géolocalisation indique par SMS ou via une application smartphone les informations aux automobilistes inscrits sur le réseau Lyberta.


    III) Implications socio-économiques et avenir de la géolocalisation

     

    Marché économique

    A l’heure actuelle, le marché de la géolocalisation est de taille encore restreinte : moins de 30% des téléphones sont équipés d’applications dédiées à cette fonction. C’’est également un marché immature, car réduit aux « early adopters » (utilisateurs pionniers) du fait de la méfiance éprouvée par les internautes et les mobinautes envers la géolocalisation.

    Paradoxalement, ce marché est en pleine croissance, conséquence des avancées technologiques en matière de télécommunications et d’informatique, mais également de géographie et de mobilité. D’autre part, elle est portée par la démocratisation de l’outil Internet, désormais utilisé comme vitrine par de nombreuses entreprises. Ainsi, la géolocalisation représente un marché mondial de 7 milliards de dollars, et devrait s’élever à 13 milliards de dollars d’ici 2014.

    De plus, cet outil peu onéreux est une aubaine pour les TPE et les commerçants, qui ne peuvent se payer un espace publicitaire, leur permettant ainsi de mettre en place des opérations marketing à moindre coût.

    Changements sociaux

    La géolocalisation engendre aujourd’hui différents changements sociaux.

    On observe tout d’abord une modification des repères spatiotemporels, avec :

    –          le rapport au temps : la publication sur les supports, par exemple, a évolué. Il se compte en jours sur les forums, en heures sur les blogs et en minutes sur les microblogs.

    –          le rapport à l’espace : de la même manière, il y a un passage de l’échelle mondiale (partage avec le monde entier via des plate-formes comme Youtube), à l’échelle locale avec les téléphones mobiles.

    Jusqu’à présent, les personnes connectées via un réseau social ne se connaissent pas forcément « physiquement » et ne se rencontrent pas systématiquement. En associant la géolocalisation à la dimension sociale, l’évolution profonde réside dans la possibilité de se rencontrer dans la vraie vie, et non plus seulement derrière l’écran.

    Par ailleurs, connaître en temps réel le lieu où chacun se trouve confère ainsi à l’individu une maîtrise de l’espace urbain.

    Nous assistons également à une reconfiguration des relations sociales. La relation entre la marque et le consommateur ne se limite plus simplement aux rayons d’un magasin ou à son site internet, mais elle est devenue omniprésente et permanente.

    De plus, l’usage des réseaux sociaux inclut désormais la géolocalisation sociale – confirmant ainsi l’omniprésence de Facebook chez les internautes. Cela a fait naître ce qu’on appelle aujourd’hui la « géosocialisation » : ce terme évoque un lieu où l’on rencontre des gens et élargit son réseau social. 23% des 15-29 ans affirment utiliser les réseaux sociaux comme moyen de géolocaliser leurs amis. C’est aussi pour eux l’occasion de rencontrer de nouvelles personnes, en témoignent les 85 % d’étudiants français utilisant Facebook pour leurs sorties.

    Risques

    Mais ces changements des habitudes sociales et du rôle de l’individu sont porteurs de plusieurs risques. En effet, le phénomène de la géolocalisation soulève notamment des questions éthiques.

    Les outils de géolocalisation « active », qui amènent à suivre en temps réel l’activité des personnes équipées, peuvent dépouiller n’importe qui de toute vie privée. En plus de vous localiser en permanence, en interrogeant leurs bases de données, les opérateurs téléphoniques collectent et archivent des nombreuses données à caractère personnel, à l’instar d’autres entreprises comme Facebook.

    Certaines sociétés sont spécialisées dans le rachat de ces données qui peuvent être réutilisés à des fins commerciales. De nombreuses entreprises n’hésitent pas à utiliser ces données pour créer des profils et viser au mieux les attentes des clients ou prospects.

    Certains acteurs économiques tirent cependant la sonnette d’alarme quant à ces pratiques. Claudia Lagnas, Digital & New Media Director de Pepsi, insiste sur le nombre considérable de sociétés qui tenteront de tirer profit des données des internautes et des mobinautes. Le risque réside dans le rejet du consommateur qui ne désire pas forcément suivre toutes les marques existantes.

    Enfin, la géolocalisation laisse la porte ouverte aux cambriolages. Indiquer ses allées et venues via son check-in ou son statut permettent aux voleurs de planifier leur vol. Ainsi, le site PleaseRobMe (« s’il vous plaît, cambriolez-moi ») visait à sensibiliser les utilisateurs de tels services aux risques potentiels. En se basant sur les informations fournies par Foursquare ou Gowalla, PleaseRobMe montrait les personnes qui n’étaient pas chez elles et, par conséquence, plus susceptibles d’un cambriolage.

    Les risques évoqués ci-dessus motivent les craintes de 72% des Français, qui considèrent que la diffusion sur internet de la localisation en temps réel est risquée (source : Observatoire sociétal du téléphone mobile, TNS Sofres).

    Limites

    On distingue d’une part les limites législatives. En effet, la géolocalisation reste très encadrée par la CNIL. Celle-ci veille à ce que cette technologie ne soit pas utilisée à des fins malveillantes, par exemple concernant l’espionnage des salariés. Certaines sociétés de transports vont jusqu’à vérifier la localisation de leurs camions en temps réel pour savoir où vont leurs chauffeurs.

    Ainsi, pour éviter tout risque de dérive, la CNIL impose aux entreprises l’existence d’un système de désactivation de la balise GPS, que le collaborateur peut utiliser quand il le souhaite, en particulier à la fin de sa journée de travail. Cela permet aux employés, qui notamment utilisent leur véhicule de travail à des fins privées, de ne pas être localisés constamment en dehors de leur temps de travail. De fait, la CNIL évite un espionnage constant de la direction.

    D’autre part, passée la phase de découverte de la géolocalisation, on dénote une certaine lassitude de la part de l’individu, survenue à force de donner sa position géographique à tout moment sur son mobile.
    Ce syndrome, baptisé « check in fatigue », s’est accompagné de plusieurs autres phénomènes : un manque de différenciation entre les offres de tous les services de géolocalisation, et une absence cruelle de business model. Même si les services de géolocalisation sont en phase avec l’évolution des comportements des consommateurs, cela reste une économie fragile dont le modèle n’est pas encore finalisé.

    Avenir de la géolocalisation

    Un avenir radieux s’offre aujourd’hui aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. L’évolution de ces techniques est extrêmement favorable à la géolocalisation marketing, et de nombreux acteurs misent beaucoup sur cette évolution pour pouvoir aller plus loin dans la géolocalisation et améliorer leurs services.

    L’exploitation des données collectées par les services de géolocalisation tend également à être adaptée aux cibles. Naveen Selvadurai, co-fondateur de Foursquare, affirme que son service a collecté et stocké plus de données durant les vingt dernières années qu’au cours de toute l’histoire, et souhaite « faire plus de choses intéressantes avec toutes ces données ».

    D’un point de vue technique, la géolocalisation sera notamment progressivement intégrée à toutes les applications « mobiles », favorisant l’apparition d’objets indiquant « où ils sont », en se géolocalisant de manière autonome (« l’Internet des objets »). L’avenir est donc aux solutions plus « intégrées » et « invisibles » pour l’utilisateur qui n’a pas à se soucier de se signaler explicitement. Nous pouvons alors parler de géolocalisation passive.

    Ce que la géolocalisation peut encore apporter reste très flou pour la plupart des experts, qui craignent que cet avenir soit terni par les problèmes que pose cette technologie. Le risque du franchissement de la limite entre le professionnel et le privé existe toujours. Se pose alors la question d’où s’arrête le professionnel et où commence la vie privée.

    C’est pourquoi certains sont sceptiques quant à l’avenir de la géolocalisation et à son épanouissement. L’enjeu consiste désormais à assurer la continuité des services de géolocalisation et, d’un point de vue commercial, il faudra attendre une dizaine d’années pour que se dessine une véritable maturité.

     Conclusion

    La géolocalisation, c’est pire qu’avant ?

    Oui et non. La critique principale qu’on peut faire à cette fonctionnalité est qu’on laisse l’utilisateur choisir délibérément de divulguer des informations mettant en cause sa vie privée. Mais concernant l’utilisation commerciale de ces informations, l’enregistrement de toutes nos recherches et de notre historique par Google à chaque recherche est, en soi, beaucoup plus problématique en termes de vie privée.

    La géolocalisation réussit un tour de force plutôt bien senti : laisser l’utilisateur maître de la récupération de sa propre vie privée à des fins commerciales, sans qu’il ne se doute de rien…

     Avenir de la Géolocalisation :

    • Les données géographiques vont devenir gratuites grâce à OpenStreetMap (l’OSM est un projet international fondé en 2004 dans le but de créer une carte libre du monde. Elle collecte des données dans le monde entier sur les routes, voies ferrées, les rivières, les forêts, les bâtiments et bien plus encore ! Les données cartographiques collectées sont ré-utilisables sous licence libre)
    • La géolocalisation sera intégrée à toutes les applications mobiles
    • Plus de la moitié des publicités sur mobile sera géolocalisée
    • Tous les contenus générés par les utilisateurs seront géo-taggués
    • La proximité et la géolocalisation contextualisera et filtrera la recherche
    • Les code-barres et les QR code simplifieront l’accès à l’information pour les utilisateurs
    • Les LBS (qui conçoivent et standardisent la structure interne des systèmes d’exploitation) seront intégrés dans les réseaux sociaux
    • La géolocalisation va aussi favoriser les relations. Un web local va émerger(mieux que foursquare)…Et Bien d’autres prédictions selon nos lectures: moteur de recherche basé sur la géolocalisation, réalité-augmentée au travers de lunettes d’ici 4 ans, jeux vidéo dans le monde « réel »…


    Oriane Depierre

    Sophie Descamp

    Alizée Detraz

    Marie Didier